Pays Basque 1900

Tartalo - Tartaro est une figure terrifiante de la mythologie basque, souvent comparée au cyclope de la mythologie grecque. Comme lui, il possède un seul œil au milieu du front et vit dans des grottes, loin des habitations humaines. Sa cruauté et sa tendance à dévorer les humains, et notamment les chrétiens, en font un être particulièrement redouté dans les récits. Il symbolise une force brute et sauvage, un prédateur implacable des contrées basques. Les variantes de son nom (Torto, Tartaro, Anxo, Antxo) témoignent de la richesse et de la diversité des traditions orales à travers les différentes régions basques, qui ont chacune leur propre version de ce monstre légendaire. Voici une représentation de Tartalo, le cyclope terrifiant de la mythologie basque, avec son unique œil et son aspect sauvage, prêt à garder l'entrée de sa caverne. L'origine du nom Tartaro et de ses variantes demeure en effet mystérieuse, et son enracinement dans la culture basque n'exclut pas la possibi

Le village de Louhossoa - Luhuso

Dans la province du Labourd au pied du Baigura, le village de Louhossoa - Luhuso est limitrophes avec les communes de Cambo-les-Bains, Itxassou, Macaye et Bidarray. Le village de Louhossoa - Luhuso Louhossoa (ou Luhuso) pourrait provenir du basque lurotsua, signifiant « le lieu où abonde la terre ». Ce nom reflète la richesse et la fertilité des terres de la région. À l'origine, le lieu connu sous le nom de Louhossoa était peuplé de 26 maisons, construites par les cadets de familles établies sur les terres communes aux villages de Macaye et Mendionde. Le 5 juin 1604, une réunion des habitants décida de diviser ces maisons, attribuant 13 d'entre elles à chaque communauté. Cette décision marque une étape importante dans la structuration et la délimitation des territoires entre les villages voisins. Le village de Louhossoa - Luhuso Le 16 décembre 1625, les habitants des quartiers de Lurhossoa, Archiloa, et Saltanssima, situés sur les terres communes, reçurent des lettres patente

La "Prison des Évêques" à Saint-Jean-Pied-de-Port

La "Prison des Évêques" est entourées de légendes, mais les recherches historiques nous donnent une vision plus précise de leur histoire. La "Prison des Évêques" semble être un édifice datant du XIIIe ou XIVe siècle, avec une fonction initiale indéterminée, peut-être comme ancien hôtel de ville ou comme lieu de rassemblement pour une bourse de marchands. En 1795, elle a été utilisée comme prison municipale. La "Prison des Évêques" à Saint-Jean-Pied-de-Port dans les années 1950 Durant le XIXe siècle, cet édifice servait de lieu de détention disciplinaire pour les soldats de la garnison de la Citadelle. Puis, pendant l'Occupation, les autorités allemandes l'ont utilisé pour enfermer les personnes tentant de fuir le Service de Travail Obligatoire (STO) en direction de l'Espagne. La crypte, une vaste salle gothique construite vers le XIIIe siècle, témoigne de son passé médiéval, avec des marques de tâcherons gravées sur certaines pierres par les ta

Randonnée : Le circuit du Xoldokogaina

Oratoire du Kalbarioa : C'est un lieu paisible qui offre une belle vue sur les environs. Sommet du Xoldokogaina : À 486 mètres d'altitude, ce sommet offre une vue spectaculaire sur la vallée de la Bidassoa et la Côte basque. Descente par le col d'Osin : C'est un passage stratégique pour découvrir le patrimoine mégalithique avec le dolmen et le menhir , témoins d'une histoire ancienne qui se mêle à la beauté naturelle de la région. Distance et Dénivelé : Un circuit de 12 km avec un dénivelé de 579 m est parfait pour une randonnée de niveau intermédiaire. C’est un bon compromis entre effort et plaisir, surtout avec les panoramas offerts. Trace GPS Conseils : Prends des pauses régulières pour profiter des points de vue et découvrir les sites historiques (comme le dolmen et le menhir). Vérifie les conditions météo avant de partir et emporte suffisamment d'eau et des encas énergétiques. Des chaussures adaptées à la montagne sont indispensables en raison du d

Le fronton de Saint-Palais

Le fronton de Saint-Palais - Donapaleu a une histoire riche et emblématique pour la commune. Sa construction, achevée en 1923, témoigne de la passion des habitants pour la pelote basque, sport phare du Pays basque. À l’époque, le maire Pierre Gueraçague a joué un rôle clé dans la création de ce fronton, qui fut inauguré lors des fêtes de la ville. En hommage à son implication, l'édifice porte son nom. Le fronton de Saint-Palais en 1924 Le choix d'un fronton à double mur n’était pas anodin. Ce type de fronton est idéal pour pratiquer le rebot, une spécialité de la pelote basque qui nécessite de l'espace pour laisser la balle rebondir sur les murs latéraux. C'est un lieu où se sont succédé de nombreuses générations de joueurs et de spectateurs, contribuant à la transmission des traditions basques. Le fronton de Saint-Palais dans les années 1930 Le surnom affectueux "Ederrena", qui signifie "le plus beau" en basque, témoigne de l’attachement des habit

Formulaire de contact

Nom

E-mail *

Message *

Fourni par Blogger