A Ciboure, le phare de Socoa est une maison-phare. Il surplombe
d’un coté les falaises de la corniche d’Urrugne, d’un autre coté le
Fort de Socoa et la baie de Saint-Jean-de-Luz.
Sa construction date de 1844. Il fut érigé à la requête des marins pêcheurs de Ciboure qui souhaitait un phare à proximité du Fort de Socoa. Il remplace un ancien phare en bois érigé en 1816 à quelques mètres du site actuel.
Il fut électrifié et revu en 1936. Comme les autres phares du port, Jacques Pavlovky serait intervenu dans cette opération.
Ce phare est une tour carrée de 12 mètres de hauteur. Sa position sur la falaise lui permet de situer à 36 métres au dessus du niveau de la mer. Le feu est visible à 12 miles. Il est scintillant blanc et rouge. Il s'agit d'un feu à occultations (2+1) (toutes les 12 secondes alternance blanc/rouge).
Depuis 1970, le phare est automatisé et n’a plus de gardien.
Sa construction date de 1844. Il fut érigé à la requête des marins pêcheurs de Ciboure qui souhaitait un phare à proximité du Fort de Socoa. Il remplace un ancien phare en bois érigé en 1816 à quelques mètres du site actuel.
Il fut électrifié et revu en 1936. Comme les autres phares du port, Jacques Pavlovky serait intervenu dans cette opération.
Ce phare est une tour carrée de 12 mètres de hauteur. Sa position sur la falaise lui permet de situer à 36 métres au dessus du niveau de la mer. Le feu est visible à 12 miles. Il est scintillant blanc et rouge. Il s'agit d'un feu à occultations (2+1) (toutes les 12 secondes alternance blanc/rouge).
Depuis 1970, le phare est automatisé et n’a plus de gardien.
Le phare de Socoa de nos jours |
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