L'Adour joue un important rôle nourricier au cours des siècles. Jusqu'au début du XXème siècle des centaines d'embarcations comme les galupes ou gabarres à fond plat sillonaient l'Adour et ses affluents avec leur chargement de brai pour le calfatage des bateaux, l'armagnac, le sel de Salies de Béarn ou la pierre de Bidache.
Ces bateaux naviguaient à l'aide des courants, du halage "la chirgue" et du vent.
Les galupes déchargeaient à Bayonne, repartaient vers l'amont en acheminant des produits manufacturés et des denrées alimentaires.
Longtemps le port de Bayonne a été le débouché de marchandises venues de Saint-Sever et Dax.
Ce trafic fluvial décline avec l'arrivée du chemin de fer même si, en 1887, on recense 6000 entrées et sorties de galupes transportant 150 000 tonnes de marchandises. En 1893, le trafic s'établit à 1800 mouvements de bateaux dans les 2 sens.
Ces bateaux naviguaient à l'aide des courants, du halage "la chirgue" et du vent.
Les galupes déchargeaient à Bayonne, repartaient vers l'amont en acheminant des produits manufacturés et des denrées alimentaires.
Longtemps le port de Bayonne a été le débouché de marchandises venues de Saint-Sever et Dax.
Ce trafic fluvial décline avec l'arrivée du chemin de fer même si, en 1887, on recense 6000 entrées et sorties de galupes transportant 150 000 tonnes de marchandises. En 1893, le trafic s'établit à 1800 mouvements de bateaux dans les 2 sens.
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